Genevelle a écrit :
Ce poisson semble donc très difficile à maintenir LONGTEMPS. A quoi est-ce du ???
Pour avoir observé cette espèce en milieu naturel, j'ai pu observer que dans son biotope préférenciel (zone herbeuse sur fond sablonneux à moins de 2 m de profondeur), elle était pratiquement seule. Les seuls voisins sont des Xenotilapia de type ochrogenys ou melanogenys. Lorsque l'herbier voisine une zone rocheuse, d'autres espèces viennent rencontrer les horei, mais seulement en limite de l'herbier.
Ma suggestion : Plutôt que maintenir cette espèce en bac communautaire sous pretexte qu'elle semble se faire respecter, cette espèce ne serai-elle viable qu'en bac spécifique avec herbier.
A vous lire
Eric
Se souvenir d'une ancestrale expo anversoise (de la BBAT)... Je fais le malin mais je viens de retomber ce we - en déballant certaines caisses

- sur la plaquette de présentation...
Le bac faisait ds les 500 litres, par là, et représentait - ma foi, pas mal, si mes souvenirs sont bons - une zone herbeuse du Tanganyika: qq grosses roches empilées sur une petites surf au sol mais montants jusqu'à la surf, deux énooormes souches et pas mal de plantes (logique

), des Vallisneria et Elodea.
Population: un banc d'Aplocheilichthys sp., un groupe de Callochromis melanostigma, des "Haplochromis" (le Ctenochromis d'aujourd'hui) horei - si je me souviens, un mâle et pas mal de femelles - une cohorde de Synodontis ancrés sur les souches et un couple de Julido.
De quoi donner des idées...